J’en ai plus rien à faire
De l’heure, j’écoute des sons
Qui font couler mes larmes
Pour une fois que ça sort
Je baisse les armes
T’en as plus rien à faire lorsque je m’alarme
Laisse-moi seule, seule, seule
Je suis détachée de toi
Je suis amoureuse de ses yeux, tu n’es plus là
Ton fantôme, se détruit, la peur qu’un autre se construise
Celui qui m'enlace dans ses bras
Il faut qu’j’ai du courage pour qu’il soit vraiment là
Beaucoup trop de pudeur
Pour un si grand amour
J’me livre plus à une feuille qu’à toi tous les jours
Perdu dans un néant
Qui grandit encore
Prouve-le moi
Que tu peux m’aimer plus fort
Que moi
Plus fort que moi, que tu es
Plus fort que moi
Plus fort que moi, que c’est
J’ai froid, j’veux plus sortir de mon lit
Jour et nuit
J’écris des rimes faciles pour oublier
Qu’il est impossible d’oublier
(oublier, qu’il est impossible d’oublier)
Oublier, eh, oubli, oubli, oublier, oublier, oublier
Oublier, eh, oubli, oubli, oublier, oublier, oublier
Oublier, eh, oubli, oubli, oublier, oublier, oublier
Oublier, eh, oubli, oubli, oublier, oublier, oublier
L’oubli, je me perds dans l’oubli
L’oubli, je me noie dans l’oubli